• Dentiste

    Diplômée avec la mention très honorable

    de la Faculté de Médecine

    de PARIS V 

    certificat d'anatomie crânio-faciale

    maîtrise de sciences biologiques et médicales

    D.U. de réparation juridique du dommage dentaire

     

    6 années d'études au minimum

    Les études d’odontologie - c’est-à-dire de chirurgien-dentiste - commencent par une difficulté de taille : le concours, commun avec celui des études de médecine. Ce concours a lieu à la fin de la 1re année d’études de premier cycle des études médicales (PCEM 1). En principe, tout bachelier peut s’inscrire sans sélection ni formalité particulière dans cette année de prépa. En réalité le bac S avec une très bonne mention est indispensable. La quasi-totalité des étudiants redoublent leur première année.

    Il existe en France 16 facultés d'odontologie ou de chirurgie dentaire qui recrutent leurs étudiants à l'issue du concours de PCEM1 commun aux futurs médecins, dentistes et sages-femmes. Les étudiants reçus choisissent alors entre les études de médecine et celles de chirurgie dentaire en fonction de leur rang de classement et dans la limite du numerus clausus fixé chaque année par un arrêté ministériel commun aux Ministères de l'Éducation nationale et de la Santé (930 places en 2004, 1047 en 2008).
    Après le concours, le parcours est de longue haleine : cinq à sept ans sont nécessaires avant de pouvoir exercer. Les études d'odontologie sont émaillées de stages en centres de soins ou en cabinet libéral et à l'hôpital. A l’issue du 2e cycle le futur dentiste opte soit pour un 3e cycle court d’une année, soit pour la préparation de l’internat en 3 années complémentaires. Contrairement à celui de la médecine, l’internat en odontologie n’est pas qualifiant et ne donne pas le titre de spécialiste.

     

     

    L'évolution du métier et des technologies 

    Le métier de chirurgien-dentiste devient de plus en plus complexe. L’évolution des technologies, des matériaux, l’exigence accrue des patients de plus en plus informés, l’arrivée constante de nouvelles normes et réglementations : isolé dans son cabinet, on a l’impression de pouvoir vite se faire déborder.

    La multiplication de longues journées de travail, menées à un rythme soutenu et stressant, ne ménage guère de temps pour autre chose. S’informer, réfléchir, actualiser ses connaissances, tout en effectuant l’ensemble des tâches indispensables à l’organisation et au bon fonctionnement du cabinet est un sacré défi .

    L’obligation de formation continue, le respect des recommandations qui apparaissent progressivement, l’augmentation constante des actes de prévention dans la pratique, la demande des patients de toujours plus d’explications : autant de nouveautés et une mutation de la profession à laquelle il faut s’adapter.

     


  • Commentaires

    1
    booobooob
    Vendredi 2 Octobre 2009 à 09:53
    bonjour Docteur,
    c est drôle, mais quand j entend dentiste, je pense direct au blues du dentiste H.Salvador, merci pour le passage en jamaique sur mon blog, et pour le commentaire , c est très sympa.
    A bientot et bon courage !!!

    http://booobooob.kazeo.com/
    booobooob
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    2
    mini
    Mardi 18 Mai 2010 à 21:19
    waouh, c tro long comme etudes
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